Titre : | Les sept Monte-Cristo d'Alexandre Dumas |
Auteurs : | Catherine Toesca, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Paris : Maisonneuve et Larose, 2002 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7068-1613-0 |
Format : | 311 p. / ill., couv. ill. / 19 cm |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 843 (Fiction) |
Résumé : | Tout le monde connaît Alexandre Dumas et tout le monde connaît Le Comte de Monte-Cristo. Traduit en vingt-deux langues, il demeure le roman le plus lu au monde. Monte-Cristo, c'est d'abord le nom d'un port haïtien, le berceau de la famille antillaise à laquelle Dumas doit son patronyme et son métissage. Dumas dévide ensuite six autres Monte-Cristo qui balayent les clichés : Dumas, un plagiaire enrôlant des nègres ? Le Comte de Monte-Cristo, un roman de gare ? Allons donc ! Alexandre ne sous-traite pas son nom de plume, il signe avec une insouciance solaire son âme et son histoire : " Il y a une chose que j'ai souvent remarquée ; on connaît toujours assez l'œuvre, on ne connaît jamais assez l'auteur - et cependant il y a une si grande liaison entre l'un et l'autre qu'on ne peut les juger que l'un par l'autre. " Riche et célèbre, Alexandre Dumas bâtit à Port-Marly le décor de sa créature. Puis il dessine au théâtre, un Comte de Monte-Cristo démesuré. Dix ans plus tard, il lance un hebdomadaire, Le Monte-Cristo, qui reprend son périple en Russie. En 1860, Alexandre arme une goélette, Le Monte-Cristo, pour s'engager dans la libération de l'Italie, le rêve de l'abbé Faria. Dumas consignait à quinze ans ses essais culinaires. Monte Cristo a encore les honneurs d'une recette tandis que le romancier souffle aux planteurs cubains le nom de Monte-Cristo pour baptiser un cigare qui décuple depuis ses fragrances. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
bc006196 | 840-843-28 | Livre | Bibliothèque centrale | Magasin sciences humains | Libre accès Disponible |
Aucun avis, veuillez vous identifier pour ajouter le vôtre !
Accueil